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financé

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24 derniers mois

Économie moyenne

par dossier

Taux de

réussite

Financement des pros par Jean-Marc DAVID, votre courtier en prêts professionnels

Professionnel de la finance depuis toujours comme conseiller entreprise puis comme courtier indépendant, j’ai à cœur de trouver le meilleur financement possible pour votre projet professionnel  que vous soyez créateur, repreneur ou bien chef d’entreprise confirmé, que vous recherchiez les meilleures conditions de financement ou juste un crédit pour démarrer votre activité professionnelle.

Mes coordonnées

Ma méthode

❝Une des clés du succès est la confiance en soi. Une des clés de la confiance en soi est la préparation.❞

Ma méthode de travail permet de vous placer dans les conditions optimales pour l’obtention de votre financement. Cette méthode est le fruit de mon expérience de banquier professionnel et de courtier pour les professionnels depuis plus de 25 ans

Accompagnement des franchises

Vous rêvez de créer votre entreprise, mais vous souhaitez vous appuyer sur un réseau, une marque, un concept qui a fait ses preuves. La franchise est faite pour vous, ou plutôt le commerce associé : l’association entre 2 commerçants indépendants. Le premier -le franchiseur- apporte son concept, ses bonnes pratiques éprouvées et sa réputation et le second -le franchisé- apporte sa force de travail et sa capacité à lever des financements.

Il existe 2035 réseaux de franchise en France et je peux vous accompagner dans ce monde du commerce associé.

Mes dernières actualités

Choisir le statut de mon entreprise

Posté le 17/06/2024

En lançant son activité, les repreneurs et créateurs sont toujours confrontés à cette question : quel statut adopter pour la création de mon entreprise. Entreprise individuelle, SAS, SARL : quel est le plus avantageux pour moi ? L’entreprise individuelle : Ce n’est pas une société puisque le créateur inscrit l’activité à son nom, il n’y donc pas de séparation entre la personne privée et son entreprise, même si la loi du 14 février 2022 crée une séparation automatique entre les biens privés et les biens professionnels. L’entreprise individuelle est le plus simple et surtout le moins coûteux des statuts. Si en plus, vous optez pour le régime fiscal des microentreprises, vous n’aurez même pas besoin de comptable. Ce statut est donc idéal pour un autoentrepreneur ou un créateur qui n’a pas de besoin de financement et souhaite limiter au maximum ses frais de fonctionnement. Les formes sociétaires : Si le chiffre d’affaires prévu est plus important, ou que vous avez besoin de prêt, ou encore que vous devez embaucher du personnel, un statut sociétaire est préférable. En effet, il vous permettra de limiter votre responsabilité au capital de la société, ce qui vous protègera un peu plus en cas de litige avec des salariés ou des fournisseurs. De plus, le statut sociétaire permet de choisir des fiscalités plus intéressantes et notamment l’impôt sur les sociétés, bien que les entreprises individuelles à l’impôt sur les sociétés soient possibles depuis 2022. Ces formes sociétaires ont un coût: création, gestion juridique, comptabilité obligatoire, mais vous apporte également un bénéfice d’image importante : vos clients préfèreront peut être acheter des produits et services à la SAS Dupont et compagnie plutôt qu’à Jean Dupont.  SARL ou SAS : La SAS présente des avantages certains : souplesse dans la rédaction des statuts, frais diminués en cas de cession des actions. Elle permet également au dirigeant de garder un statut de salarié.  Mais le coût de ce statut salarié et ses 70 % de charge sociale est une dépense importante comparé au 43 % de charge sociale du gérant de SARL. D’autant que grâce à la loi Madelin, le gérant de SARL peut améliorer sa protection sociale en économisant des impôts. Le choix d’un statut de société n’est pas neutre et doit être adapté à l’activité et aux objectifs du chef d’entreprise. Un accompagnement par un professionnel confirmé est donc indispensable.

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Quel financement pour mon bâtiment ?

Posté le 10/06/2024

Vous souhaitez acheter les murs de votre commerce, vous voulez faire construire un bâtiment pour votre activité, vous voulez acheter un nouveau site pour vous développer, voici quelques conseils et point d’attention pour mener à bien l’opération et éviter les mauvaises surprises ! Acheter ou louer ? L’achat n’est pas toujours pertinent. Si votre activité n’est pas assurée ou que l’emplacement du local n’est pas optimum, mieux vaudra passer son tour et louer votre local. En revanche si l’achat permet une réduction du loyer à payer, il ne faut pas hésiter, mais c’est rarement le cas. Quel que soit la situation, les banques estiment souvent que les charges de loyer ou de remboursement de prêt ne doivent pas dépasser 10 % du chiffre d’affaires. SCI ou achat en direct ? Dans la majorité des cas, les chefs d’entreprises rachètent leurs locaux via une SCI.  Cela évite d’alourdir l’endettement de la société d’exploitation. Surtout la revente de cette dernière est facilitée : le vendeur garde la SCI quelque années avant que le repreneur puisse racheter le local d’activité. Enfin la SCI permet des montages fiscaux et sociétaires plus élaborés. Et la fiscalité ? Le montage sociétaire via une SCI permet d’optimiser la fiscalité avec notamment le régime des impôts sur la société et les amortissements. L’imposition à la TVA est aussi un point à vérifier avec l’expert-comptable ou l’avocat. Quel apport ? Un apport au moins équivalent aux frais de notaire et de transaction, soit à peu près 10 % est souvent demandé par les établissements bancaires. Selon votre situation et le nombre de banque prêt à vous suivre, ce point peut être négocié avec de bons arguments. Durée et taux ? La durée des prêts professionnels pour les bâtiments est généralement limitée à 15 ans. Une modulation ; possibilité de rallonger ou de raccourcir la durée du prêt, peut être proposée par certains établissements. Le taux, les garanties et les assurances d’emprunt sont à négocier. Une opération d’achat de bâtiments ou de murs, même si elle est réalisée dans un cadre professionnel est une opération qui permet de se constituer un patrimoine et de se créer des revenus complémentaires une fois le prêt remboursé. Mais attention de ne pas surendetter son entreprise la privant ainsi de précieuses capacités financières pour se développer.

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Quel montant d’apport faut-il pour créer son entreprise ?

Posté le 03/06/2024

Résolu à devenir indépendant et être votre propre patron, vous évaluez le coût des investissements nécessaires: travaux, achat de matériel, trésorerie (BFR).  La plupart peuvent être financés par des prêts bancaires, mais quel est l’apport nécessaire pour que la banque accepte le financement ? Apport vous avez dit apport ? Il faut déjà définir ce qu’est l’apport. Il s’agit d’abord de l’épargne qui figure sur vos comptes bancaires et que vous êtes prêts à consacrer à votre création ou reprise d’entreprise.  L’apport peut également inclure du matériel, un véhicule qui sera cédé à l’entreprise pour son fonctionnement par exemple. Mais si vous voulez l’ajouter à votre capital social, il faudra faire appel à un commissaire aux comptes pour l’inclure et l’évaluer. Si vous avez déjà avancé des fonds : frais de notaire, dépôt de garantie pour le bail, ou bien acompte pour la commande de matériel ou de travaux, ils pourront être inclus également dans l’apport. Les prêts d’honneur (par exemple les prêts des plateformes initiative) peuvent être considérés comme apport également car ce sont des prêts personnels que vous reverserez sur le compte de votre entreprise. Les banques ne les considèrent pas comme un réel apport car ils génèrent un endettement complémentaire. 20 et 30 %  Lorsqu’on les interroge sur cette notion d’apport, les banquiers vous répondent souvent qu’il faut 30 % d’apport sur le besoin total de financement pour la création d’entreprise et 20 % pour la reprise d’entreprise. En réalité, les besoins d’apport varient selon le type d’activité que vous envisagez, votre expérience dans l’activité que vous souhaitez entreprendre, le montant du prêt que vous avez à demander. Ainsi le salarié qui gère un point de vente depuis 10 ans obtiendra son prêt avec 10 % d’apport. De même, l’artisan plombier qui s’installe après avoir été salarié et qui a juste besoin de financer du matériel pourra demander un financement à 100 % sachant que ce financement s’élève à 40 000 ou 50 000 €.  Il sera demandé sans doute plus de 30 % d’apport au commerçant qui souhaite acquérir un stock important de biens de consommation et qui démarre son activité dans un contexte de stagnation de la consommation. Pourquoi un apport est-il demandé ? Cet apport va mettre en lumière le sérieux de votre dossier et vos capacités de gestionnaire. En effet, comment la banque peut-elle faire confiance à quelqu’un qui souhaite créer son entreprise et n’a pas réussi à mettre un peu d’épargne de côté ? Cet apport permet également de payer certains frais que les banques ne veulent pas financer : frais de bail, frais de création d’entreprise, honoraires des intervenants, frais de négociation, trésorerie de départ ou BFR, frais de garanties, etc.  Dans une moindre mesure, il sert aussi à payer les stocks en totalité ou en partie, les banques les considérant difficiles à évaluer et par nature destinés à être rapidement vendus. Enfin, l’apport rassure les banquiers car il diminue le risque de ne pas être remboursé en cas de cessation d’activité. L’apport n’est qu’une des notions à étudier dans un projet de création d’entreprise : le secteur d’activité, l’expérience des porteurs de projet, leur patrimoine en général, le contexte économique, le concept ont aussi leur importance. Il est donc primordial d’être bien accompagné et bien conseillé.

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